
Nous sommes allés rejoindre nos visiteurs qui s'en donnaient à coeur joie dans les rues de Berlin. Ils ont pu découvrir, entre autres, le Reichstag (parlement Allemand), la porte de Brandebourg, quelques musées, le Tiergarten (parc), la colonne de la Victoire, et sans oublier de faire un peu de shopping au passage. Un peu lassés de toutes ces frivolités, nous nous sommes rendu au camp de concentration de Sachsenhausen dans lequel ont péri de nombreux juifs dans des conditions effroyables lors de la dernière guerre mondiale. Bien que nous ne regrettons pas d'y avoir mis les pieds, ce lugubre endroit vous glace le sang et vous fait apprécier d'être né à une époque et dans un pays qui préconise la démocratie.
Dès notre retour au centre-ville, nos racines canadiennes ont été titillées. En effet, on s'est retrouvés en plein milieu du défilé de l'équipe championne de la ligue professionnelle de hockey allemande (Les Ours des glaces de Berlin). L'ours est l'emblème officielle de Berlin. On en trouve partout : en peluche, en statut, en chocolat... (Photo à l'appuie)

Mais en parlant d'ours, l'espèce bostonnaise semblent être dure à dompter par les piteux glorieux de MTL qui ont vraiment bien réussi leur version d'équipe qui joue comme des centenaires. La parade s'étant estompée, nous avons cheminé en direction du quartier Saint-Nicolas dans lequel trône une curieuse église à double-pignon. Notre promenade s'est poursuivie le long de la Spree pour aboutir en face de la cathédrale de Berlin (voir photo).
L'apogée du weekend a été atteint au dernier repas du soir qui s'est déroulé dans une brasserie bavaroise où multiples cochonnades et boissons maltées étaient en vedette. Le déchirement aéroportuaire à été encore difficile pour Mimi lors du départ de nos invités mais les rôles seront inversées en juin lorsque nous serons de passage au Qc.
Nous avons bien hâte de vous revoir!
1 commentaire:
Bonjour Mireille, belles photos (moi qui adore les toutous et les belles Madames). J'espère que tout va bien dans votre nouvelle vie.
André St-Gelais.
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